Quelqu'un d'entre vous sait-il si le Premier Dimanche du Mois d'Orléans, le rassemblement des motos anciennes d’Orléans et de ses environs, est toujours en activité? Je sais que ce rendez-vous de passionnés attirait beaucoup de propriétaires de scooters (Vespa, Lambretta) - c'est mon PX qui serait content d'aller y faire un tour - mais aussi de motos classiques.
Cricri, n'est-ce pas le genre d'événement auquel ton frère Dominique pourrait participer? Il faudrait bien que l'on se parle un de ces quat', lui et moi. On aurait sûrement plein de choses à discuter. Et peut-être pourrait-il m'aider à trouver la GT750 ou la T500 de mes rêves... ou encore une magnifique BMW R90S? Contrairement aux Charron Brothers, je suis «mechanically challenged» comme disent les Ricains. Je ne comprends rien à la mécanique. En fait, je la comprends - je suis même capable de l'expliquer dans le détail - mais elle me rebute et m'intimide. Je serais capable de restaurer une moto, sous supervision. Mais je ne pense pas pouvoir réparer un moteur ou refaire un circuit électrique. Enfin, bref... Si vous avez des news au sujet du Premier dimanche du Mois d'Orléans, laissez-le moi savoir - où? quand? comment? pourquoi? avec qui? - les questions classiques, quoi!
3 commentaires:
En effet, le cadet des frères Charron est un habitué du premier dimanche du mois, rassemblement d'irréductibles amateurs de motos rouillées au comportement aléatoire, qui, une fois restaurées à grand frais, tombent en rade au bout de 50 km en vomissant leurs soupapes...
Sentirai-je comme une pointe de sarcasme à l'endroit du cadet des frères Charron? Une critique déguisée de ses talents de «restaurateur» de vieilles mécaniques ou bien un pur exercice de mauvaise foi motarde?
Non, pas de haine larvée entre les frères Charron. Bien au contraire, ce commentaire était un hommage aux vrais amateurs d'anciennes qui s'éreintent à restaurer des machines qui, même lorsqu'elles étaient neuves, étaient victimes d'une conception bâclée et surtout de matériaux et de technologies préhistoriques comparés à ce qui se fait aujourd'hui ; c'est ce qui a coulé les Anglais dans les années 70 : outre une conception un peu datée, leurs machines étaient composées de matériaux parfois franchement merdiques (par exemple, un carbu Amal est usé au bout de 20.000 bornes) et assemblées avec une certaine désinvolture...
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